Cahiers


À l’occasion de son 70e anniversaire,

la Société culturelle publie

La Société culturelle du Pays Castrais

* Dernière née des sociétés intellectuelles de la ville

* Depuis 70 ans au service de la culture à Castres

Cahier n° 55 de la Société culturelle de 142 pages, abondamment illustré en noir et blanc et couleur.

Prix : 15 €  Pour envoi par la poste prévoir 7,70€ soit au total 22,70€

Disponibilité : début avril - tirage limité

Ce cahier

· relate l’histoire des sociétés intellectuelles castraises au cours des temps, de l’Académie de Castres au XVIIe siècle au Comité des intellectuels au milieu du XXe ;

· décrit de façon détaillée l’histoire de la Société culturelle depuis sa création officielle en 1954 jusqu’à nos jours, sous les présidences successives de Joseph Mercadier, Pierre Chabbert, Gaston-Louis Marchal, René Artigaut, Raymond Gailhouste et Aimé Balssa ;

· donne des listes détaillées des principales actions menées depuis son origine : conférences (plus de 750 !), ouvrages publiés (plus de 80 !), actions de mécénat (plus de 100 000 € 2023 !), bourses (prix) Pierre-Chabbert, sorties, Billets (plus de 250 thèmes abordés !)...

Un livre de souvenirs riche en illustrations originales

Un ouvrage indispensable pour tout membre de l’association



Cahiers


Zone de Texte: Aimé Balssa

Un siècle d’industrie du bois

en Pays Castrais

1850-1950

Cahier n° 53 de 173 pages au format 21x29,7 cm illustré en noir et blanc et couleur, couverture couleur

ISBN n° 978 2 904401 91 6

Parution : novembre 2023

Prix 15 €

Vers le milieu du XIXe siècle, des besoins nouveaux apparaissent au sein d’une population dont le niveau de vie s’élève : objets plus élaborés, accessoires fonctionnels. Les meubles n’ont plus un rôle strictement utilitaire mais s’ornent désormais de motifs sculptés ou tournés.

Établi comme quincailler à Castres en 1848, Jean Laran perçoit ces évolutions et commence à organiser dans ses locaux un modeste atelier de production d’ornements en bois, recrutant des tourneurs, des ébénistes et sculpteurs, des vernisseuses, quelques serruriers. Il passe au stade industriel en installant en 1863 deux usines bénéficiant de chutes d’eau sur la Durenque, au Mail et à Roques. Devant le succès de l’entreprise, plusieurs autres jeunes hommes disposant de peu de moyens mais d’une véritable volonté d’entreprendre créent à leur tour des ateliers à Castres ou Roquecourbe et les font prospérer : Gourc, Astruc, Vincent, Mialhe, Bonnamas… Leurs ouvriers s’organisent bientôt en fondant dans les années 1880 les premiers syndicats locaux. Un nouvel état d’esprit s’instaure parmi ces derniers, conduisant à une longue grève en 1889, la première à Castres depuis la création des syndicats professionnels, mais aussi à l’apparition de plusieurs sociétés corporatives.

Bénéficiant d’une conjoncture favorable, les fabricants d’ornements en bois élargissent leurs gammes vers le siège, le meuble, les jouets d’enfant et poursuivent leur développement, leurs effectifs atteignant 600 personnes vers 1900 et plus de 800 en 1914, à la déclaration de guerre. Autour d’eux s’activent de nombreux ateliers d’artisans.

Les désorganisations intervenues au cours de la Grande Guerre et lors des années suivantes, la conjoncture économique et financière troublée de l’entre-deux-guerres, portent un coup sévère aux entreprises du secteur. Peut-être par manque de volonté ou d’imagination, les nouvelles générations qui sont à leur tête doivent gérer un repli important de leur activité, et par conséquent de leurs effectifs. Pourtant, deux jeunes entrepreneurs formés dans les ateliers locaux créent leurs propres entreprises à cette époque : en 1922 à Labruguière, Léon Ruisseau, qui se spécialise dans le siège (Stella), et en 1936 à Castres Albert Fabriès, qui s’oriente vers la fabrication de meubles en série. Sous leur gestion, elles connaissent un développement spectaculaire, malheureusement sans lendemain.


Pour commander l’ouvrage envoyez un courrier à : Société Culturelle du Pays Castrais 8 Place Soult 81100 CASTRES en mentionnant le titre de cet ouvrage accompagné d’un chèque d’un montant de 19,30 € (15€ + 4,30€ de participation aux frais d’envoi). Si vous désirez l’envoi de plusieurs ouvrages nous consulter d’abord pour connaître le montant des frais d’envoi.


Cahiers

Campans. Une seigneurie, une paroisse.

Samuel Montagne

Campans

Une seigneurie, une paroisse

Territoires ruraux castrais

Cahier de la Société culturelle du Pays Castrais n° 52

Un ouvrage au format A 4 (21 x 29,7 cm) de 226 pages, abondamment illustré en noir et blanc et en couleur, couverture en quadrichromie pelliculée, dos carré.

IBSN : 978 2 204401 90 9

Prix : 18 €

Parution : début mars 2023

Dès le Néolithique, la campagne de Campans a été occupée par les hommes comme en témoignent les quelques découvertes archéologiques réalisées. Ce n’est toutefois qu’à partir du XIIIe siècle que le château et l’église sont mentionnés. L’instauration d’une seigneurie et celle d’une paroisse ont conduit à l’émergence d’un territoire relativement autonome au sein du consulat puis de la commune de Castres.

L’étude d’archives abondantes a permis de connaître les différentes familles de seigneurs qui ont résidé au château, l’organisation de la forteresse et ses remaniements. Les documents cadastraux, les actes notariés, ont mis en évidence l’existence d’importantes propriétés foncières organisées en métairies jusqu’au début du XXe siècle, autour desquelles gravitaient de modestes exploitations agricoles. La rareté des eaux de surface a entraîné la création de nombreux puits et de médiocres moulins, à eau sur le cours capricieux de l’Aybes ou à vent près du château.

L’église, dédiée à Notre-Dame, entièrement reconstruite au XIXe siècle, l’école, présente pendant un siècle et demi, les anciennes métairies, les activités artisanales, ont fait l’objet d’études approfondies.

Les photographies collectées témoignent des multiples facettes de la vie paysanne au début du siècle dernier. Cette sociabilité rurale est par ailleurs décrite en détail par les deux hommes influents de la paroisse au milieu du XXe siècle : le curé et l’instituteur.

Ce monde essentiellement paysan a profondément évolué à partir du milieu du XXe siècle grâce à de nouvelles formes de vie sociale et, plus récemment, du fait de l’arrivée de populations néorurales occupant de petits secteurs pavillonnaires.



Pour commander l’ouvrage envoyez un courrier à : Société Culturelle du Pays Castrais 8 Place Soult 81100 CASTRES en mentionnant le titre de cet ouvrage accompagné d’un chèque d’un montant de 25,70€ (18€ + 7,70€ de participation aux frais d’envoi) à l'ordre de Société Culturelle du Pays Castrais. Si vous désirez l’envoi de plusieurs ouvrages nous consulter d’abord pour connaître le montant des frais d’envoi.



Cahiers


Aimé Balssa

Baudecourt

Une famille de banquiers castrais

Avec l’histoire de l’hôtel Beaudecourt

51e cahier de la Société culturelle du Pays Castrais. Un ouvrage de 108 pages au format 21x29,7 cm abondamment illustré en couleurs, couverture quadrichromie pelliculée, dos carré collé. 347Gr.

Prix : 13 €

Parution : 15 avril 2022.

Les Baudecourt arrivent à Castres au milieu du XVIe siècle. Au maître maçon Raymond Baudecourt succède son fils Arnaud, aubergiste entreprenant. Puis, après les guerres de Rohan et la terrible épidémie de peste de 1629-1630, ses descendants s’orientent vers les professions commerciales et la banque : parcours semés d’embûches, car leur santé est souvent précaire et leur foi réformée leur impose une grande prudence.

Cependant, une branche tire particulièrement son épingle du jeu : au XVIIIe siècle, sur trois générations, les Baudecourt sont les principaux banquiers de la place de Castres. La Révolution sera malheureusement fatale à leur activité jusque là florissante.

Cet ouvrage relate à grands traits l’histoire de la famille pendant deux siècles et demi, apportant de nombreux correctifs aux informations publiées jusqu’ici et mettant en lumière le rôle de quelques branches secondaires. Il décrit en outre l’évolution jusqu’à nos jours des trois bâtiments les plus chers à la famille des banquiers : leur métairie de Lavergne, où est mort le dernier d’entre eux ; leur grande maison de ville, où ils exerçaient leur profession ; l’hôtel Beaudecourt enfin, construit juste avant leur chute par une belle-fille recherchant sans doute une vie moins austère.

Pour commander l’ouvrage envoyez un courrier à : Société Culturelle du Pays Castrais 8 Place Soult 81100 CASTRES en mentionnant le titre de cet ouvrage accompagné d’un chèque d’un montant de 19,30€ (13€ + 6,30€ de participation aux frais d’envoi). Si vous désirez l’envoi de plusieurs ouvrages nous consulter d’abord pour connaître le montant des frais d’envoi.


Cahiers


Samuel Montagnes

De Gibrondes à Jonquières, un territoire en quête d'unité.


Un gros cahier de 336 pages au format 21x29,7 cm illustré en couleur, couverture couleur, dos carré collé.

Parution : début novembre 2021

Prix : 20 €.

La commune de Jonquières est née au début du XIXe siècle de la réunion de plusieurs petites entités territoriales différentes. Son territoire est le fruit de découpages complexes issus des communautés de Gibrondes et de Labessière, elles-mêmes organisées en différentes paroisses : Burens, Magreperbeyre, Alayrac et Jonquières.

Ce territoire a longtemps vécu des ressources agricoles de cette plaine fertile dont les habitants étaient organisés en hameaux et en métairies. Certaines familles de laboureurs et de travailleurs de terre solidement établies ont fait souche et donné leurs noms aux lieux-dits de la commune. Les nombreuses généalogies accompagnées de photographies d’antan révèlent le quotidien des habitants de la commune avant l’avènement de l’agriculture moderne.

L’ouvrage, illustré par les aquarelles de Jean-Marc Camparmo, réconcilie l’histoire et la mémoire des habitants. Cette rencontre improbable entre un historien et un artiste invite à se remémorer le passé pour mieux comprendre les paysages et les habitants du Jonquières d’aujourd’hui.



Pour commander l’ouvrage envoyez un courrier à : Société Culturelle du Pays Castrais 8 Place Soult 81100 CASTRES en mentionnant le titre de cet ouvrage accompagné d’un chèque d’un montant de 30€ (20€ + 10€ de participation aux frais d’envoi) à l'ordre de Société Culturelle du Pays Castrais. Si vous désirez l’envoi de plusieurs ouvrages nous consulter d’abord pour connaître le montant des frais d’envoi.